Cette semaine, j’ai décidé de reprendre les rênes de ma vie. J’ai pris rendez-vous chez le nutritionniste. Franchement, c’était comme un téléfilm du dimanche après-midi : tu connais la fin avant même d’arriver. La dernière fois que j’y suis allée, il y a quelques années, j’affichais 76 kg. Et puis l’autre jour… je monte sur la balance, et là, 91.  Évidemment, il m’a donné quelques règles alimentaires… mais surtout, il m’a demandé de faire du sport trois fois par semaine.Dit c

Depuis que nous sommes parents, nous avons instauré un rituel : une fois par an, on s’offre un week-end rien qu’à deux. Un week-end de NO surveillance : pas de « touche pas là », pas de « viens ici », pas de « ce n’est pas encore l’heure de manger »… Juste deux jours où le temps se dilue. Tu ne sais pas ce que tu vas manger, ni où, ni quand… mais tu t’en fiches. Tu te laisses porter, comme si le monde pouvait bien attendre pendant que toi, tu respires enfin à deux.  Je me so

🎂 Aujourd’hui, pile aujourd’hui, je souffle mes 41 bougies. Et pour être honnête, ce n’est pas une date que j’attends avec des cotillons… Disons que, pour des raisons très personnelles — ou plutôt quelques ombres venues de mon enfance —, cette journée me laisse toujours un goût un peu étrange.Cela dit, depuis que Samuel partage ma vie (et que la maternité m’a offert son chaos délicieux), je crois que je l’apprécie un soupçon davantage.La semaine de mon anniversaire, je devi

Dimanche, 20h30. Je suis assise dans la cuisine, pendant que mon mari me prépare une tortilla de patata digne d’un prix Michelin. Je suis épuisée (niveau expert 🏆), mais heureuse. Vraiment heureuse. Parce que dans le couple, offrir du soin, de l’empathie, c’est aussi une forme d’amour. Ce week-end, je suis partie à un mariage entre filles, avec deux amies de ma “team master”. Trois femmes, sans leurs partenaires… et soudain, nous avons eu l’impression d’être perçues comme un

Je vais commencer par me présenter, même si, si vous lisez ces lignes, il est probable que vous me connaissiez déjà… au moins un petit peu. Je m’appelle Jessica, mais ici en France, on me connaît surtout comme Mme GONZALEZ. (Petite anecdote : il n’y a pas longtemps, une patiente insistait pour m’appeler Mme MARTINEZ. Après l’avoir corrigée plusieurs fois – disons une dizaine – j’ai fini par lui dire très clairement : « GONZALEZ, GONZALEZ ! »… Ce à quoi elle m’a répondu, imper